The Financial Post cite Jon Levin, avocat de Toronto, dans un article sur l’affaire Michael Beattie.
Jon Levin, associé et avocat aguerri en droit des sociétés au sein du bureau de Toronto de Fasken Martineau DuMoulin S.E.N.C.R.L., s.r. l., qui ne faisait pas affaire avec M. Beattie, a expliqué que l’acquisition de nouveaux clients déclenche habituellement, au sein des cabinets juridiques, des recherches dites de diligence raisonnable. Ces vérifications peuvent aller d’une simple recherche rapide sur Google à un ratissage au peigne fin des bases de données de personnes et d’organisations ayant fait l’objet d’accusations ou de condamnations pour infractions majeures, par exemple le blanchiment d’argent ou la fraude.
« Ce type d’événements met en évidence l’importance pour un cabinet juridique de “connaître son client” », a expliqué M. Levin.