La Presse cite Antoine Aylwin, avocats de Montréal, dans un article sur le projet de loi 96.
« Pour les PME, il y a une préoccupation face à l’inconnu et à toute la paperasse à remplir, confirme Antoine Aylwin, avocat associé de la firme Fasken. L’Office québécois de la langue française ne fait pas partie de leur vie. À la base, la Charte s’applique déjà depuis 40 ans. Là, on leur ajoute une couche de conformité. Il y aura des coûts et des efforts additionnels pour changer certaines pratiques. Plusieurs entreprises ne verront aucun changement. Mais celles qui ont une perspective internationale devront s’adapter. »