CBC News cite Antoine Aylwin, avocat de Montréal, dans un article sur l’entrée en vigueur de la nouvelle loi linguistique du Québec, le projet de loi 96.
Antoine Aylwin, avocat spécialisé dans la protection de la vie privée au cabinet Fasken à Montréal, est optimiste et pense que les gens parviendront à une compréhension mutuelle.
« Les gens feront des erreurs. Les gens demanderont des droits qu’ils n’ont pas et seront frustrés. Mais dans l’ensemble, si les gens sont capables de mettre un peu d’eau dans leur vin, alors la plus grande agitation sera derrière nous et non devant nous », a déclaré M. Aylwin en faisant référence au tumulte que la loi a provoqué pendant qu’elle était débattue à l’Assemblée nationale l’année dernière, notamment en raison de l’invocation de la clause dérogatoire pour la protéger des contestations constitutionnelles.