Games Industry cite Michael Shortt, avocat de Montréal, dans un article sur le piratage dans l’industrie du jeu vidéo.
Pour répondre à cette question, je me suis entretenu avec Michael Shortt, associé du cabinet d’avocats canadien Fasken, qui travaille en tant qu’avocat et agent de marques, plus particulièrement dans le domaine du jeu vidéo. Comme vous l’avez peut-être deviné, la raison en est en grande partie que les produits contrefaits sont mis en ligne par des vendeurs tiers.
« Si vous vendez le produit vous-même, vous serez juridiquement beaucoup plus responsable que quelqu’un qui ne fait que vendre des produits de tiers », explique M. Shortt. « Avec les produits de tiers, vous avez une possibilité de déni plausible. L’argument est que vous ne saviez pas parce qu’il y a beaucoup de trafic ».