L’associé de Montréal Jean-Philippe Mikus commente les mesures que les entreprises doivent prendre pour se conformer aux changements apportés à la loi 96, ajoutant de nouvelles obligations en vertu de la Charte de la langue française, dans un article publié dans La Presse.
Il commente notamment l’obligation pour les entreprises de s’assurer que le français est la langue prédominante utilisée sur leur devanture.
« La loi ne change rien à la possibilité d’afficher une marque de commerce dans une langue étrangère, qu’il s’agisse de l’anglais ou de l’italien. Il faut simplement ajouter des éléments pour s’assurer que le français est prédominant », a déclaré l’associé Jean-Philippe Mikus.